THE BONGO REGIME WILL CRUMBLE AND THOSE WHO SUPPORT IT KNOW THAT. LE RÉGIME BONGO VA S’ÉCROULER ET CEUX QUI LE SOUTIENNENT LE SAVENT

Members of the Gabonese government dressed as soldiers
Des membres du gouvernement gabonais en tenues militaires
Photo : Gabonreview



English version

The Bongo-PDG’s regime is a dictatorship; and dictatorships are bound to fail. They always fail. When people aren't able to decide their own future, they end up rebelling. People rebel against dictators and end up winning.

The Bongo-PDG’s regime is characterized by keeping the Gabonese population in a repressive environment, by large misallocation of resources, and by the omniscience of incompetent decision makers.

The sector using the largest portion of the Gabonese treasury is the Presidency. Huge amounts of money are spent on the presidency, without any tangible results. These resources could be far better spent on productive activities instead of wasted on bloated lazy people who provide no economic return to the country. The Bongos see themselves as the priority of the country to the detriment of the rest of the economy. Significant resources are also put into the up keeping of a large repressive structure aimed at keeping the people down. Money that can be better spent building Gabon is instead spent on repressing the people.

The Bongo-PDG’s regime is stifling because it discourages innovation and the creation of new ideas. In a culture of fear, standing out is a dangerous choice and it is easier and safer to avoid notice by laying low and not perform exceptionally. In such an environment, thinking outside the box and questioning the status quo means putting your life at an enormous risk. Independent thinking is squashed and discouraged. This creates an absence of innovators and entrepreneurial spirit which in turn causes Gabon to languish in idleness. There is little incentive to attract attention to oneself with bold new ideas and principles that may challenge the system. Rather it was safer to continue the old ways, even if this meant that the country stagnates.

The Bongo-PDG’s dictatorship restricts information and even punishes those who want to tell the truth. This situation makes it hard for the regimes to acknowledge and correct its mistakes. The regime’s subordinates stay in their position, and alive, by telling their superiors and the Head of State what they want to hear, not the truth. In the Bongo-PDG’s regime, there is no such thing as constructive criticism. Without proper debate, failures cannot be detected and corrected. Members of the regime are more concerned with sycophancy than with truthfully reporting what the country needs so accurate decisions cannot be taken. Given that everything is centralized at the presidency, these conditions explain why the Bongo-PDG’s regime is so disastrous and unsustainable for Gabon.

A crucial feature of the Bongo-PDG dictatorship is the lack of checks on power. There is no right to criticize policies, as doing so by members of the regime is perceived to be disloyal. Without the freedom to criticize, bad decisions cannot be challenged and therefore problems fester for a long time. If Ali Bongo makes a mistake then there is no way to correct it, because he is never wrong. This permeates the entire administration and incompetence goes unpunished. In the repressive society that is Gabon, corruption is not discouraged and therefore it flourishes. There is no mechanism for removing corrupt or inept managers or even finding accurate information on them; the regime considers loyalty to be the most valued trait. People like Accrombessi and Seydou Kane, close associates to Ali Bongo have been shown to be crooks. Thus, the regime is dominated by loyal but incompetent and crooked bureaucrats. Employee theft is rampant and legitimized in Gabon. Ordinary people are disincentivized and demotivated to work hard and honestly. Why work hard if the rulers steal everything?

The Bongo-PDG’s regime will crumble because sustainable political systems are based on trust, honesty and the rule of law. The culture of fear that the Bongo regime’s has created in Gabon meant that you could trust no one. As a result the system founders because no one is trusted. No successful country can be built by terrorizing, imprisoning or assassinating independent thinkers and creative minds. In Gabon, the enormous dictatorial apparatus crushes the entire country. The repressive environment breeds a resentful Gabonese population that in time is only becoming too willing to get back at a regime they despise. This population will awaken and rebel. History is on the side of the people and those who support the Bongo-PDG’s regime know this!



Version française

Le régime Bongo-PDG est une dictature; et les dictatures sont vouées à l'échec. Elles s’effondrent toujours. Quand les peuples ne sont pas en mesure de décider de leur propre avenir, ils finissent par se révolter. Les peuples se rebellent contre les dictateurs et finissent par l’emporter.

Le régime Bongo-PDG se caractérise par le maintien de la population gabonaise dans un environnement répressif ; par une massive mauvaise allocation des ressources ; et par l'omniprésence de décideurs incompétents.

Le secteur utilisant la plus grande portion de la trésorerie gabonaise est la présidence. D'énormes sommes d'argent sont dépensées par la présidence, sans résultats tangibles. Ces ressources pourraient être beaucoup mieux investies dans des activités productives au lieu d’être gaspillées à entretenir des fainéants qui n’engendrent aucun retour économique pour le pays. Les Bongos s’imaginent comme étant la priorité du pays au détriment du reste de l'économie. D'importantes ressources sont également allouées pour entretenir une grosse structure répressive utilisée à museler les gens. Cet argent qui pourrait être mieux utilisé à la construction du Gabon est plutôt consacré à réprimer le peuple.

Le régime Bongo-PDG est étouffant, car il décourage l'innovation et la création de nouvelles idées. Dans une culture de peur, être anticonformiste est un choix dangereux et il est plus facile et plus prudent d'éviter d’attirer l’attention et d’avoir un rendement quelconque. Dans un tel environnement, laisser libre cours à son imagination et questionner le statu quo revient à mettre sa vie à en danger. La pensée indépendante est écrasée et découragée. Cela crée une absence d'innovation et d'esprit d'entreprise, qui à son tour fait que le Gabon languisse dans du sur place. Il y a peu d'incitation à se faire remarquer en proposant de nouvelles idées et principes audacieux, qui pourraient remettre en question le système. Au contraire, il est plus sûr de continuer avec les vieilles méthodes, même si cela signifie que le pays stagne.

La dictature Bongo-PDG limite l'information et punit même ceux qui veulent dire la vérité. Cette situation permet au régime de ne pas reconnaître ou corriger ses erreurs. Les subordonnés du régime restent en place, et en vie, en disant à leurs supérieurs et à la personne à la tête de l'État, ce qu'ils veulent entendre et non la vérité. Au sein du régime Bongo-PDG, il n'y a pas de tolérance pour la critique constructive. Sans véritable débat, les échecs ne peuvent être ni détectées, ni corrigées. Les membres du régime sont plus préoccupés par la flagornerie que par une évaluation honnête de ce dont le pays a tant besoin et par une prise de bonnes décisions. Étant donné que tout est centralisé à la présidence, ces conditions expliquent pourquoi le régime Bongo-PDG est si désastreux et insoutenable pour le Gabon.

Une caractéristique essentielle de la dictature Bongo-PDG est le manque de contrôles sur le pouvoir. Il semble qu’on n’ait pas le droit de critiquer les orientations du régime, car le faire pour les membres du régime, est perçu comme étant déloyal. Sans la liberté de critiquer, les mauvaises décisions ne peuvent être contestées et donc les problèmes continuent de s’aggraver sur une longue période. Si Ali Bongo fait une erreur, il n'y a aucun moyen de la corriger, parce que par essence, il ne se trompe jamais. Cette attitude imprègne l'ensemble de l'administration et fait que l'incompétence reste impunie. Dans la société répressive qu’est le Gabon, la corruption n’est pas combattue et donc elle fleurit. Il n'y a aucun mécanisme pour enlever de l’administration, les gestionnaires corrompus ou incompétents ou même de trouver des informations précises sur eux; le régime considérant la loyauté comme étant le paramètre le plus apprécié. Il a été démontré que des gens comme Accrombessi et Seydou Kane, de proches collaborateurs d’Ali Bongo, sont des escrocs. Ainsi, le régime est dominé par des bureaucrates certes loyaux, mais incompétents et véreux. Le vol par les employés est endémique et légitimé au Gabon. Les gens ordinaires sont dissuadés et démotivés à travailler dur et honnêtement. Pourquoi travailler dur si les dirigeants volent tout?

Le régime des Bongo-PDG va s'effondrer parce que les systèmes politiques durables sont basés sur la confiance, l'honnêteté et la primauté du droit. La culture de la peur que le régime Bongo a instaurée au Gabon, fait en sorte qu’on ne puisse faire confiance à personne. En conséquence, le système se putréfie parce que les gens ne se font pas confiance. Aucun pays ne peut être construit en terrorisant, emprisonnant ou en assassinant les penseurs indépendants et les esprits créatifs. Au Gabon, l'énorme appareil dictatorial écrase l'ensemble du pays. L'environnement répressif engendre dans la population gabonaise un ressentiment qui dans le temps la rend plus disposée à en finir avec un régime qu'elle méprise. Cette population va se réveiller et se rebeller. L'histoire est du côté du peuple et ceux qui soutiennent le régime de Bongo-PDG le savent!

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